Le référencement éditorial, comme toutes les disciplines, comporte un risque. Celui de la suroptimisation SEO. En effet, lorsque l’on veut trop bien faire, ou trop en faire, cela peut mener à des dérives !
Nous ne parlons pas de risques graves, qui vous feraient reculer sur Google. Ou qui pénaliseraient votre site et risqueraient de le déréférencer. Non, rien de tel à première vue.
Nous souhaitons aborder les risques liés aux internautes, aux lecteurs lorsqu’ils consomment un contenu. À leur plaisir de lire des textes qu’ils souhaitent agréables et fluides. Des textes intéressants, riches d’enseignements, d’informations et de valeur. Des textes de qualité et dignes d’intérêt.
Détaillons maintenant les risques les plus courants avec nos conseils sur comment les éviter.
Sommaire
Lorsque l’on débute en SEO et référencement naturel, le premier sujet que l’on entend est celui du mot-clé. En effet, on lit partout qu’il faut effectuer une recherche de mots-clés pour savoir sur lesquels se positionner dans notre production de contenu.
Le mot-clé devient donc pour tous un Saint-Graal à trouver, travailler et développer. Et c’est absolument vrai. L’importance de savoir quelles sont les requêtes des internautes, quels sont les termes qu’ils recherchent et utilisent afin de rédiger des textes qui apportent des réponses.
Ensuite, on apprend que pour que Google repère ce mot-clé, il faut que ce terme soit présent. Voire très présent. Alors, pour bien faire, on va utiliser des outils d’aide au SEO comme Yoast ou SEOpress pour les plus répandus d’entre eux sur WordPress.
Ces outils vont vous demander d’identifier votre mot-clé principal, ou votre requête cible. Puis ils vont évaluer sa densité au sein de votre texte. C’est-à-dire le nombre de fois où ce mot est répété. Il va aussi vous suggérer de le placer dans votre titre, dans vos sous-titres, dans la balise alt de votre image.
Puisque vous avez décidé de bien travailler le SEO de vos textes, vous allez appliquer ces règles à la lettre jusqu’à ce que vos indicateurs soient au vert.
Si la démarche est correcte, il faut être prudent et vigilant. Car ces outils fonctionnent de manière comptable. Pour une telle longueur de texte, il faut trouver ce mot 5 fois, 7 fois, ou 10 fois.
Nous, ce que nous voulons, c’est apporter de la diversité, de la richesse, du plaisir à la lecture. Et croyez-nous, votre lecteur n’est pas bête et il reste critique. S’il découvre un texte qui ne fait que se répéter. S’il n’y a pas de fluidité, aucun rythme et juste du bourrage de mot-clé, son premier réflexe sera de sortir de votre site. Une lecture indigeste ne plaît à personne. Et un travail SEO qui se sent à plein nez est tout bonnement déplaisant et fera fuir vos visiteurs. Ce n’est pas ce que vous souhaitez, n’est-ce pas ?
Cette pratique porte un nom, c’est le keyword stuffing. Et il faut à tout prix l’éviter pour garder une rédaction fluide. N’oublions jamais que nous écrivons avant tout et uniquement pour le lecteur. Pour lui offrir de l’information, de la connaissance et du savoir. Voire des conseils et du plaisir.
Les techniques de référencement naturel ne sont qu’une passerelle qui aidera l’internaute à vous trouver. La visibilité ne se fait pas au détriment de la qualité rédactionnelle.
On place donc notre mot-clé lorsque cela fait du sens au cœur de notre texte. On garde à l’esprit la pertinence et on s’assure de plaire à notre lecteur.
Nous n’avons qu’un conseil à vous donner : lorsque ce n’est plus naturel, on arrête ! En tant que rédacteur, vous êtes également votre premier lecteur. Lisez donc ce que vous écrivez. Mettez-vous dans la peau de vos internautes et demandez-vous si votre texte est naturel. Ce terme que vous venez d’ajouter dans votre paragraphe, a-t-il du sens ? L’auriez-vous ajouté par vous-même si l’outil ne vous l’avait pas imposé ?
Soyez critique et lorsque vous commencez à ressentir que vous vous forcez, arrêtez.
C’est là qu’interviennent les textes prétextes, ces paragraphes que vous allez ajouter pour compléter votre article. Dont le principal objectif est de pouvoir creuser votre sujet sans bourrer votre mot-clé avec insistance.
Notez aussi que certains endroits comptent plus que d’autres. Une balise Hn aura davantage de poids que le même mot inséré dans un paragraphe de texte. Il peut donc être judicieux de le placer une fois ou l’autre dans un sous-titre et ainsi donner du poids à ce terme sur lequel vous essayez de vous placer. Mais on ne le fait pas dix fois ou à chaque titre ou intertitre. On le fait lorsque c’est naturel uniquement. Sinon, on s’abstient.
La théorie indique que plus un texte est long, plus il aura de chance d’être classé en tête des moteurs de recherche. Ainsi donc, nous devrions apporter de la longueur à nos écrits. Et donc, nous pourrions être tentés d’allonger et allonger encore… au profit de la concision, du rythme de notre texte. Et finalement, on finit par se répéter.
En effet, si l’on observe la longueur des articles qui sont classés en première page de Google, ils ont en moyenne plus de 2000 mots. Semrush nous conseillait 1135 mots par article. Notre propre expérience nous indique qu’en-dessous de 800 mots, c’est compliqué d’être bien référencé.
Lorsque l’on s’aide d’un plugin SEO, je pense par exemple à Yoast sur WordPress, il va nous inciter à allonger. De 100, il nous demande de passer à 300 mots. Puis à 500 mots. Et ainsi de suite jusqu’à dépasser 800, puis 1000.
Et les dernières tendances 2021 indiquent qu’on se dirige plus vers 2’000 à 3’000 mots pour les articles en tête de liste.
Il faut comprendre en effet que la longueur a deux avantages aux yeux des moteurs de recherche.
Tout d’abord, un texte long aura davantage de chances de couvrir la totalité du sujet. De donner beaucoup d’informations au lecteur et ainsi répondre à sa question en détail.
Ensuite, mettez-vous à la place de Google. Il est évident que son objectif, à lui, est que de plus en plus de contenu se trouve sur le net, afin que les gens y passent de plus en plus de temps, pour y poser de plus en plus de questions, et y trouver les réponses qu’ils désirent. La production de contenu, de contenus de qualité, sont le fondement de son fonctionnement pour assurer une bonne expérience et pleine satisfaction à ses internautes.
Voilà justement le cœur du problème. La priorité, c’est de couvrir son sujet avec une bonne introduction, quelques arguments et contre-arguments bien détaillés, une conclusion synthétique et voilà. La véritable question est : de combien de mots avons-nous besoin pour cela ?
Car lorsque l’on cherche à tout prix à faire de la longueur, cela va rapidement se sentir. Un texte avec des répétitions, qui finit par devenir lassant. Avec comme conséquence l’abandon de notre lecteur. Personne n’a de temps à perdre avec un contenu rébarbatif et ennuyeux. Et les moteurs vous qualifieront également de “contenu pauvre”. Donc bien entendu à ne pas faire remonter dans la SERP.
Ou pire, à force de vouloir rallonger, on va dévier du sujet, et le risque ici est de commencer à employer des termes qui s’éloignent de notre champ sémantique. Cela va amener une perte de cohérence pour le moteur de recherche qui ne comprendra peut-être plus de quoi traite notre texte. Et là, c’est le recul assuré
Gardons donc à l’esprit la qualité. Écrivons un texte qui couvre notre sujet, étayons la totalité de nos arguments. Ajustons ensuite notre SEO avec les mots-clés et une bonne sémantique et le tour est joué.
Il vous est certainement arrivé de vous trouver sur un site, et de voir le même sujet abordé de toutes les manières… pour finalement se répéter un peu.
L’idée derrière cette pratique est que l’entreprise cherche à se positionner sur un terme ou un sujet, et va donc multiplier les textes qui abordent ce terme ou ce sujet. Un exemple rencontré il y a peu sur un site dédié à la sophrologie. Ils avaient décidé de travailler sur la thématique du sommeil et des insomnies. Excellente idée, dans la mesure où il s’agit d’un thème très recherché. Et également très concurrentiel car de nombreux sites et blogs abordent le sujet.
Toutefois, en nous promenant sur le site, nous avons trouvé le sommeil traité de tellement de manières qu’au final, le contenu des articles devenait redondant. Comment traiter l’insomnie, comment vous aider à retrouver le sommeil, comment gérer les réveils nocturnes, comment s’endormir plus vite, les 3 méthodes pour mieux gérer les insomnies, 5 conseils pour dormir mieux, un sommeil profond pour des journées en forme.
Si l’idée n’est pas mauvaise, car en effet le sujet est ainsi traité et creusé de mille manières, son application ici n’était pas judicieuse car le contenu des articles reprenait toujours les mêmes propositions, les mêmes solutions.
Au final, des articles qui tournent en rond sans beaucoup se différencier car chaque article offre une méthode similaire.
Un lecteur qui finit par s’ennuyer à force de trouver les mêmes conseils à appliquer. Donc un lecteur qui quittera notre site pour ne jamais y revenir car il nous aura catalogués comme un site de faible intérêt, qui se répète et n’a donc pas beaucoup à raconter. Car l’objectif d’un blog bien construit est d’amener le lecteur à lire et découvrir plusieurs de nos textes, explorer différentes pages et ainsi favoriser le temps passé sur notre site et le nombre de pages visitées.
Et le dernier point, sans surprise : des paragraphes qui se répètent et frisent le contenu dupliqué interne, c’est-à-dire la copie de contenu à l’intérieur d’un même site ou blog et les risques inhérents à cette pratique.
Petit aparté, en effet on parle très souvent des problèmes liés au contenu dupliqué d’un site sur un autre, que l’on apparente soit au vol de contenu, soit au partage de nos propres contenus sur d’autres plateformes ou réseaux sociaux. Mais un même texte, ou portion de texte répliqué sur plusieurs de nos pages est tout aussi ennuyeux.
Donc ne cédez pas à l’envie de multiplier les articles pour multiplier les articles. Au contraire, élargissez vos thèmes et sujets. Vous enrichirez alors votre site en apportant plus de contenu et plus d’expertise.
Mieux vaut un ou deux articles de fonds, fouillés et aboutis, qui traitent le sujet dans son ensemble. Il aura plus de longueur, plus de richesse, et sera à la fois valorisé par les moteurs de recherche et apprécié par vos lecteurs.
Vous pouvez tout à fait parvenir à vous positionner sur un sujet avec un seul article complet et de qualité. Nul besoin d’en rajouter.
Toutefois, il peut arriver qu’une thématique nécessite plusieurs articles pour être couverte dans son ensemble. C’est le type de construction en silo préconisé dans la méthode du cocon sémantique. Dans notre cas précédent sur le sommeil, je proposerais de creuser en différents niveaux : l’insomnie comme article mère, qui traiterait ensuite de l’endormissement et des réveils nocturnes, avec à chaque fois les conseils précis et méthodes efficaces liées à ce problème spécifique. Puis un niveau silo sur le sommeil d’un point de vue plus médical et les besoins du corps. Et ainsi de suite. Une bonne organisation pour une bonne clarté d’information. À la fois pour le lecteur et pour les robots.
Nous avons volontairement choisi de ne pas aborder les disciplines que l’on nomme “black hat”, le chapeau noir.
C’est-à-dire des pratiques répréhensibles qui vont à l’encontre de toutes les règles de bonnes pratiques et se placent à l’encontre de tout sens éthique. Parfois, pour tenter à tout prix de bien se positionner sur les moteurs de recherche, certaines personnes ne respectent aucune règle, sans suivre les recommandations des moteurs de recherche. Cette suroptimisation vise l’objectif de remonter plus rapidement en tête des résultats de recherche.
Pour citer un premier exemple de ces techniques interdites, nous pensons notamment au contenu caché. Le fameux texte blanc sur fond blanc. Ou pour le rendre invisible, le texte écrit en police de caractère 0 ou 1. C’est-à-dire minuscule. Il sera alors invisible pour le lecteur… mais lu par les crawlers des moteurs de recherche.
Nous pensons également au vol de contenu. Pour aller plus vite, posséder de nombreux articles sur un blog récent sans se donner la peine d’écrire. Certaines pratiques vont simplement plagier d’autres sites, d’autres blogs, afin de piquer du contenu existant. Heureusement, le duplicate content ou contenu dupliqué est aujourd’hui rapidement identifié par les moteurs de recherche.
Ces techniques malveillantes de Black Hat, nous ne les avons pas mentionnées pour deux raisons.
Tout d’abord, nous ne validons pas de tels agissements. Selon nous, il s’agit tout simplement de triche. Battons-nous à armes égales. Le travail, la persévérance, la qualité dans la production de contenu et l’écriture : voilà ce qui nous fera nous démarquer !
Ensuite, c’est l’histoire de l’arroseur arrosé. Lorsque l’on triche, cela finit toujours par se savoir et se remarquer. Et donc, ça nous revient en pleine figure à un moment ou un autre. Et là, la sentence sera lourde. Car si Google repère des techniques d’optimisation SEO qualifiées de Black Hat, le site web concerné sera au mieux déclassé. Au pire il sera carrément désindexé. Et adieu la belle position dans le moteur de recherche.
Bref, n’en parlons pas davantage car nous sommes contre, nous n’y croyons pas à long terme, et que ces pratiques sont illégales. Nous considérons donc que le sujet est clos ! Le SEO se travaille en toute légalité par la richesse de contenus uniques et authentiques.
Pour illustrer notre article, nous sommes allés poser la question à notre fondatrice pour savoir quelle était sa vision sur le sujet.
Après 20 ans en marketing stratégique et opérationnel, Sacheen est devenue indépendante en 2013 et aide au quotidien les entreprises à assurer leur croissance de chiffre d’affaires. Elle s’est spécialisée en rédaction web et SEO, et a fondé en 2021 Sémantisseo, agence de référencement éditorial qui propose des prestations d’audit, rédaction et formation pour développer sa visibilité par les mots.
Je dois dire que je les observe toutes au quotidien. Ceux qui ont décidé de développer leur référencement naturel ont appris les bases, qui ont lu plein d’articles et livres sur les bonnes pratiques et se mettent à glisser leurs mots-clés partout, de manière ni subtile ni cohérente. C’est plutôt désagréable à la lecture. Je constate aussi des pratiques de “black hat” interdites et que je réprouve, comme par exemple du texte caché sur fond blanc. Surtout sur des sites plutôt anciens, qui ont 5-6 ans, à l’époque où c’était ça la pratique usuelle. Mais je dois aussi dire que la majorité des sites que je consulte ne sont pas optimisés en fait. Dans ces cas-là, aucune de ces pratiques n’est présente. Mais le problème, c’est que leur visibilité est faible, évidemment. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’ils font appel à nous ☺️
Cela reste quand même rare, dans la mesure où je constate surtout un manque d’optimisation ! Rires 😂. Malheureusement, les principes du référencement, surtout le SEO éditorial, sont encore assez peu répandus et les sites que nous analysons lors de nos audits sont plutôt pauvres en contenus. Pas de blog, ou alors des articles sans aucune régularité voire très anciens. Pas de cohérence ni de richesse de contenus. Dans la majorité des cas, tous les indicateurs de nos outils digitaux sont au rouge.
Oh là là, j’en ai plein. Les meilleurs, ce sont les sites qui souhaitent se positionner de manière géographique sur une région particulière, et qui listent la totalité des villes et villages de la région à la suite. On se retrouve donc avec un site qui liste en bas de ses prestations une série de lieux appondus, séparés d’une simple virgule sur une vingtaine de lignes. Ce n’est ni esthétique, ni optimisé.
Je le remarque beaucoup dans les sites de prestations de type ménage, nettoyages de fin de chantier, nettoyages de bureaux. Ils offrent une prestation locale, mais dans une zone de chalandise assez vaste qui couvre une vingtaine de kilomètres. Je vous laisse donc imaginer la taille de la liste de villages. Et ce n’est même pas discret, la liste est là visible, incohérente et interminable. Pour Google qui aime les phrases complètes, dans ces listes de lieux je vous assure qu’il n’y a ni verbe ni sujet !
Pour commencer, j’utilise mon bon sens, tout simplement. Une phrase ou un texte ne doivent pas être écrits pour Google et les moteurs de recherche. Un texte doit répondre à une demande et satisfaire une requête des internautes. Donc on écrit pour eux, on veille à la diversité, la richesse de contenu.
Ensuite, je fais appel à des outils qui m’aident à enrichir les contenus de manière très structurée et cohérente. Ils me proposent des listes sémantiques qui me permettent de vérifier si j’ai des termes manquants que je devrais ajouter par exemple.
Lorsqu’il s’agit de définir le calendrier de publication et la liste de sujets d’articles, j’utilise la méthode du silo en parallèle des requêtes clés des internautes sur le sujet. Je crée alors les sujets en réfléchissant au lecteur, à ses centres d’intérêt, ses envies et ses besoins. Et comme je suis une machine à idées et que je ne suis jamais à court de créativité : tant mieux, ils coulent de source.
Mon secret, c’est la méthode de la Basket. Je dois absolument écrire sur le sujet car parvenir à se glisser dans les chaussures de son consommateur et sa cible, c’est la seule manière de bien le comprendre et ce qui fait de nous de bons marketeurs. Allez, je me glisse ce sujet pour ma prochaine étude de cas marketing 🥰
Lorsque vous écrivez, pensez toujours en priorité à votre lecteur.
Bien sûr, bien souvent la raison pour laquelle nous rédigeons et publions des articles et pages sur internet est le référencement naturel.
Mais ceci ne doit en aucun cas être l’unique raison ou la priorité.
Pensons à la qualité. Un lecteur a une attente, un besoin. Il recherche de l’information. S’interroge sur un sujet pour lequel vous avez une expertise ou une connaissance. Il se pose des questions auxquelles vous savez répondre.
Dans votre article ou votre texte, pensez à ce que vous pouvez lui apporter.
Et grâce aux techniques d’optimisation, grâce au référencement éditorial, vous allez privilégier un certain mot-clé. Vous allez veiller à structurer votre texte et vos paragraphes pour une bonne lisibilité. Vous assurerez ainsi une bonne cohérence sémantique avec votre sujet.
C’est ainsi que se travaillent le référencement et le SEO. Avec naturel et sans pratiques outrageuses. La méthodologie sémantique préconisée par Sémantisseo met en priorité le lecteur en avant. Et la qualité des thématiques rédigées. Le reste vient naturellement. Et les résultats sont là. Rapidement et efficacement.
Merci de votre lecture.
Au plaisir de vous retrouver dans nos prochains articles.
L’équipe Sémantisseo
Si les thématiques du SEO éditorial, de l’optimisation et du référencement naturel vous intéressent, voici quelques propositions :